Pour de nombreux peuples de l’Antiquité, l’Aloe Vera symbolisait « l’immortalité, la beauté, la santé, et la régénérescence ».
On disait de Cléopâtre qu’elle avait l’habitude de sa baigner dans un bain à base de jus d’Aloès. Ce bain quotidien était comme un soin de beauté et un élixir de jeunesse. Alexandre le Grand, lui-même l’utilisait pour soigner et vitaliser ses hommes d’armes.
Les égyptiens de l’Antiquité disposaient des Aloès ou des feuilles d’Aloès dans le tombeau de leurs pharaons défunts. Ils étaient persuadés que l’Aloès détenait le pouvoir de faciliter le passage des défunts dans l’autre monde. On a découvert des tablettes d’argiles datant entre 5000 à 6000 avant Jésus-Christ qui mentionnaient l’usage thérapeutique de la plante. Aristote et Hippocrate donnent une description détaillée dans leurs traités médicaux, de ses propriétés curatives et bienfaisantes.
Je peux citer d’autre pays comme le Mexique et l’Amérique du Sud, où l’Aloe Vera a toujours été considérée comme une plante sacrée procurant le bonheur à qui la possédait. Ou encore la Chine où la plante avait été surnommée « La plante de l’harmonie », en raison de son action rééquilibrante agissant sur tout le corps.
En découvrant l’histoire de l’Aloe Vera, nous pouvons constater que beaucoup de civilisations de la terre, à des époques différentes, semblent avoir découvert l’utilité des propriétés de l’Aloès. L’Aloe Vera fut donc employée durant des siècles comme traitement interne et externe des maladies de la peau et du système digestif.